Le Caneton des retrouvailles se pose à la Tour d’Argent
Rentrée en douceur pour La Tour d’Argent, après 5 mois et demi de fermeture. pour sceller la réouverture et donner installer de beaux et bons moments de partage et de tradition, le mythique établissement dresse sa table le dimanche midi. Comme il y a longtemps. Repas du dimanche, grandes tablées familiales, recettes de famille, petits & grands autour du canard sublimé par le savoir-faire ancestral de l’établissement.
« Le déjeuner du dimanche est un moment particulier. Dans les us et coutumes, il rassemble autour de la table les membres d’une même famille, en mêlant tous les âges. C’est un mélange de tradition et de modernité, à l’image de La Tour d’Argent. Voilà pourquoi il nous semblait si important d’être présents et de pouvoir accompagner par notre cuisine ces moments exceptionnels de partage et d’échange », souligne le Chef Yannick Franques.
André Terrail et le Chef Yannick Franques présentent également un nouveau plat inédit : « Le Caneton des Retrouvailles » : un canard de haut vol … pour de belles retrouvailles ! Figue, cèpe et purée de noix en majesté autour d’un caneton d’exception.
Emblème de La Tour d’Argent depuis ses origines, le Canard est célébré pour sa chair incomparable et sublimé par le savoir-faire ancestral de la Maison. Depuis plus de 60 ans, la Maison Burgaud – dirigée désormais par la 4ème génération – est le fournisseur officiel de La Tour d’Argent et livre chaque jour ses canards élevés à Challans en Vendée.
Depuis hier, en cuisine les canards attendent fébrilement d’être servis, les sauces chantent, murmurent à petits bruits. Les classiques crêpes Mademoiselle sont heureuses de sauter, d’être pliées et flambées devant des gourmets ravis.
En salle espace et distanciation de rigueur, les mesures sanitaires sont en place, les tables respectent les distances, au millimètre. « Comme tous les restaurants gastronomiques, les tables étaient déjà distantes de plus d’un mètre pour le confort de la clientèle. La distanciation est donc garantie, sans aménagement », confie André Terrail. Le personnel sourit derrière ses masques aux armes de la maison.
