Thierry Marx plaide pour "un bio de masse"

“Il y a une économie de la qualité et c’est ce que nos politiques devraient défendre”, a-t-il martelé. Thierry Marx a plaidé pour “une agriculture raisonnée”, “un bio de masse” et un “retour à une cuisine saisonnière”. “L’enjeu écologique et environnemental de la cuisine est fort ; il faut que les artisans de la gastronomie respectent cet environnement”.

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Drogues, alcool… Addictions en cuisine: les chefs parlent

Voici Manon, 28 ans, dont dix dans la haute cuisine. Manon ne fume pas que du tabac, a déjà reniflé de la cocaïne -“comme 90% des gens qu’elle connaît dans ce milieu”, dit-elle- et accepte volontiers un pot après le service. L’éducation a commencé à l’école hôtelière d’Avignon, où la jeune Lyonnaise se rappelle très bien les litres de bière descendus, une fois terminés les cours, par certains de ses camarades. “Les cuisiniers aiment bien se mettre mal. C’est un milieu très communautaire, où on se fait souvent maltraiter et où on a besoin de décompresser”, confie-t-elle de sa voix déjà un peu lasse.

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