Les sites de réservation en ligne de voyages comme Airbnb, Priceline et Booking.com continuent d’augmenter leur popularité, car les consommateurs sensibles au prix tentent d’économiser autant d’argent que possible pour réserver leurs prochaines vacances et tomber sur la bonne affaire.
Les hôteliers profitent-ils de leur liberté tarifaire ?
Ils n’en profitent pas assez, d’autant qu’ils craignent de se mettre à dos les grandes OTAs.
Les patrons d’hôtels reprochent aux surpuissants sites de réservation en ligne d’avoir la main mise sur leur politique tarifaire.
De son côté, Booking.com réfute la demande du fisc français estimant s’être déjà acquitté de ses impôts aux Pays bas où la firme possède son siège européen. À l’instar de l’Irlande, les Pays bas bénéficient d’une fiscalité très avantageuse pour ces multinationales.
Les hôteliers se réjouissent, Booking.com fait grise mine Le secteur hôtelier français va pouvoir proposer des tarifs libres et négociés, grâce à la loi Macron, sans se soucier des tarifs accordés aux plateformes de réservation sur Internet. Stéphane Bazin, le patron d’AccorHotels, a mené la bataille face aux géants de la réservation, comme Booking.com (AFP/Eric
Oui, booking.com accepte que l’établissement propose un meilleur tarif sur une autre plate-forme de vente que la sienne, mais l’hôtelier, ne pourra pas proposer sur son propre site Internet des tarifs moins chers que ceux proposés sur Booking.com.
La centrale de réservation en ligne Booking.com a pris mardi 21 avril des engagements « particulièrement étendus » pour stimuler……..
Le service à un prix, mais la en regardant les factures de commissions, cela donne le vertige !!!!!
